mer.
10
juin
2015
Chef Thomas Keller's New American restaurant offers luxe fixed-price menus (310$, service included) with Central Park views.
A little overpriced considering the competition with Eleven Madison and other NY high-end restaurants, but outstanding execution and dishes
4, The Shops at Columbus Circle, 10 Columbus Circle, New York, NY 10019
(212) 823-9335
lun.
08
juin
2015
High-end Italian seafood & house-made pastas from Michael White in a chic Central Park South setting
2 Michelin stars
3 NY Times stars
240 Central Park South, New York, NY 10019
(212) 582-5100
sam.
20
déc.
2014
A great place to grab some soup dumplings (the closest, most similar of the famous, delicious Xia Long Bao from Shanghai) and other creative ones (try the Pac-Man ones). The place is friendly, with a lot of light, with wooden tables.
http://redfarmnyc.com/
529 HUDSON
BETWEEN W.10TH AND CHARLES ST
NEW YORK, NY 10014
(212) 792-9700
or
2170 BROADWAY
BETWEEN W.76TH AND W.77TH
NEW YORK, NY 10023
(212) 724-9700
dim.
06
oct.
2013
Allez, c'était super, et on avait du mal à marcher en sortant. Petite liste des choses disponibles. Le récap en vidéo. Un choix hallucinant. Dommage pour le coulis de framboise, ou le chocolat fondu, grands absents, que l'on a pourtant trouvés dans des buffets moins réputés, comme au Flamingo.
Smoothie framboise frais dans de petites bouteilles inidividuelles
Sachets de thé emballés à ouvrir soi-même, avec feuilles à l'intérieur.Pas un thé déjà infusé qu'on vous sert en carafe.
5 fromages, avec noix de pécan, amandes grillés, granola maison, et autres accompagnements à saupoudrer
Des préparations individuelles de :
- figues avec lardons, bleu, ciboulette, oignon frais, fleur de sel et vinaigre balsamique
- fromage de chèvre, vinaigre balsamique, légèrement saupoudré de quelque chose de croquant
- oeuf bénédicte sur toast ave jambon, et crème hollandaise (qui ressemble plus à de la mayonnaise qu'à autre chose)
- crevettes citron sur lit de ketchup revisité
- polenta cacahuètes, poivrons, pesto et lardons, présenté dans une petite cassolette
- portion de salade, olives, feta, oignon
et bien d'autres...
Mais aussi:
des pêtes chinoises, des brocolis, du riz vapeur, des tranches de steack découpés à la demande, du lard grillé lui aussi découpé à la demande, des moules, des mini-pizzas faites maison (cuites dans un four apparent) des sushis, des makis (faits derrière un comptoir), du pico de Gallo (comme au Chili, mais moins bon), de la chantilly, des fruits (le melon espagnol à la menthe...miam)
Et pour le sucré (1/3 du buffet):
des croissants, des pains au chocolat, des chaussons aux pommes, des chaussons au nutella (rhooo), 4 sortes de pains différents, 4 types de bagels, de la mousse au chocolat blanc ou noir, déclinée sous différentes préparations, des fraises entourées de chocolat (moins bonnes que l'on pensait, mais c'était vers la fin, et nous avions beaucoup mangé), du cheesecake, du carrotcake, des portions individuelles de yaourt (avec myrtilles et noix de pécan), des chamalows à la mangue, des tartes au citron meringuée, des domes de chocolat blanc aux fruits de la passion et feuille d'or, des mousses au deux chocolat, des tartes aux framboises/chocolat, de la mousse citron/framboise, des moeulleux au chocolat sur coulis de fraise (présentés dans une petite casserolle chaude), des crumble à la pêche.... tout ça, en portion individuelle. S'il vous plait.
A quand la prochaine ???
ven.
04
oct.
2013
Une bonne surprise que cet endroit, situé au Planet Hollywood Hotel, sur le strip, à Las Vegas. Il faut dire qu'on avait une grosse faim. Et pas si simple de trouver de trouver quelque chose de correct d'ouvert après 23h ici. Sans blague. La plupart des restaurants des hôtels ferment après 22h30. Pas celui-ci. C'est cependant plus une sorte de brasserie qu'un restaurant un peu chic. C'est en quittant le Cosmopolitan Hotel, où tout était fermé, et après avoir traversé la passerelle surplombant la rue, que nous sommes arrivés ici. Quick review.
Le menu est posé de chaque coté de la table, debout. Il se déplie, avec le visage de Mr Ramsay pour vous souhaiter la bienvenue. Les truffle Parmesan Fries sonnent bien. On prend. La serveuse nous apporte un Ipad. Merci. Pourquoi? Pour choisir notre boisson (cocktails, bières, vins, milkshakes). Pas mal foutue l'application. Visuelle, clean, agréable, originale, avec ses écrans intéractifs et animés. Et pourquoi pas un strawberry milkshake, avec son cookie au chocolat sur le dessus, et une couche de pudding à la banane sur la partie supérieure? Il arrive par contre complètement glacé, et est impossible à boire. Ne serait-il pas frais, sans jeu de mots? Après avoir posé la question, si. En fait, le verre est mis au congelo avant la préparation. Nous voilà rassurés. Allez, retour sur la carte, et on se laisse tenter par le Hell's Kitchen Burger, du nom de la célèbre emission de Gordon. Il est vraiment bon. On a presque envie de dire sain, mais le mot est difficile à employer aux USA. Un peu spicy, avec ses piments grillés et l'avocat. 14$. Pas mal pour le prix. Les frites sont au top, pas grasses, relevées par la mayonnaise truffée, que nous finissons sans peine.
Total? 37$ (27,5 euros), sans pourboire. Un Iphone accompagne la note. Le notre n'a plus de batterie. C'est balot. L'idée? Un questionnaire rapide de satisfaction...
jeu.
03
oct.
2013
Ce soir, c'est assis au bar que nous mangeons japonais. C'est chez Shibuya, au MGM Grand.
Ici, les clients n'ont pas la droit de parler aux chefs, qui se parlent tous en japonais. La déco est jolie, avec des branches d'arbres qui tombent du plafond, dans une ambiance un peu sombre, relevé par les couleurs de l'ensemble derrière le comptoir. Les gestes paraissent moins appliqués qu'au Japon. La carte des boissons est remarquable, avec un large choix de saké ou de shoshus, ainsi que des explications sur les différentes qualités et gammes. Tiens, les chefs utilisent un film plastique pour fabriquer et enrouler les rolls. Etrange, nous n'avions jamais vu ça au pays du soleil levant. Et plusieurs coups de couteau sont nécessaires pour les découper. Bizarre ça aussi (normalement, un seul suffit, sans parler de l'esthétique du geste, du respect du produit, de l'économie d'énergie...). La cause au film plastique? Non. Après avoir demandé, c'est pour tenir les morceaux de poisson sur le dessus. Tyler, notre serveur, va répondre à nos questions sans jamais perdre son sourire, et sa décontraction. Re-tiens, les chefs portent des gants. Ca non plus nous n'avions pas vu. Nouvelle question. Oui, c'est nouveau. Depuis un an, ils sont obligatoires dans le Nevada, pour des questions d'hygiène.
La carte fait envie. Tout à l'air bon. Les rolls et sushis que nous voyons partir devant nous ne semblent pas surchargés, ni trop compliqués. Nous commandons un "kanpachi", soit quatre tranches de ce poisson blanc, servies avec du sel au yuzu et de l'huile truffée. C'est beau, et surtout, fin, subtil. Ca fond comme il faut. Viennent ensuite les raviolis de wagyu et foie gras. La sauce les accompagnant est délicieuse. Leur peau est ultra tendre, fine, craquante. Par contre, le goût du wagyu et du foie gras ne saute pas au palais. On se demande même si ce n'est pas du paté de foie, plutôt que du foie gras. Mais non, après avoir demandé, c'en est bien. Nous croyions qu'il était interdit aux USA, mais il ne l'est en fait qu'en Californie. Nous avons 5 pièces, que nous partageons. Viennent ensuite les "shibuya", 6 pièces au softshell crab. C'est craquant, léger, mais le poisson manque un peu de goût pour nous. Les 6 pièces de "Niji" sont bonnes, simples. Le poisson, disposé sur le dessus, est un poil sec. Il n'y a pas de wasabi à l'intérieur. Celui à disposition sur le coté de l'assiette est bon. Enfin, les 6 pièces de Tempura roll sont servies chaudes, sont généreuses. Le croustillant est un peu fade en bouche, dommage. Pour finir, nous n'aurons pas de "moshis", ces sucreries japonaises. Le "moshi", ici, c'est de la glace. Dommage pour un japonais plutôt haut-de-gamme.
La cuisine est bonne, pas fatiguée, malgré la dizaine d'années qu'affiche le restaurant. A la fin du service, des serveurs enlèvent les fauteuils à côté. On veut bien être parmi les derniers, mais quand même, d'autant que nous n'avons pas terminé. Vont-ils éteindre les lumières? On s'inquiète. En le faisant remarquer sur le ton de la plaisanterie à Tyler, on comprend qu'ils préparent la salle pour demain midi. Ici va en effet être découpé un bluefin Tuna. Whao, quand on sait que c'est un japonais qui sera à l'oeuvre.
Tyler, toujours très sympa, reste souriant et détendu. Même au moment de l'addition, voyant que notre verre est vide, il repart chercher une carafe pour nous resservir. Il a toujours eu les mots qui vont bien. Etre payé au pourboire, clairement, ça fait la différence.
116 dollars sans pourboire = 138 à deux au total, soit 102 euros
ven.
27
sept.
2013
C'était sympa ce restaurant. L'ambiance, les plats, le décor, les clients, les serveurs...un bon choix, suite à la recommandation d'un commerçant de St Helena, en pleine Napa Valley. Assis au bar (la salle était pleine, et nous n'avions pas réservé), nous avons commandé un apéritif, une entrée (des calamars grillés, cuisinés avec des courgettes et du chorizo, et sa sauce au citron...belle assocation, bien relevée), un saumon aux pois verts, et des gnocchis aux giroffles et à la truffe du Périgord. S'il vous plaît. Et c'était bien. On évitera par contre de prendre un champagne Nicolas Feuillate à 60$ la bouteille...
Si un jour vous vous trouvez par là, c'est ici, ou chez Cook (1310 Main St, St Helena, CA 94574, États-Unis), qu'il faut aller....
1429 Main St, St Helena
CA 94574, États-Unis
+1 707-968-9200
ven.
27
sept.
2013
Qu'est-ce que ça vait l'air bien ce restaurant. En plein sur le port, loin de la rue principale, blindée de touristes, juste à côté de deux chalutiers, sur le Pier 47. L'adresse qui sent bon, qui sent le poisson, qui sent le frais. Le coin des habitués, comme on sait de moins en moins en faire. Le genre de restaurant classe, mais authentique. Reste à voir les prix, et le service. On est tombé dessus par hasard, en allant voir les bateaux. Il a fallu s'écarter du brouhaha pour tomber dessus, par hasard. Ce serait une institution qu'on ne serait pas étonné. Mais nous n'aurons pas testé. Par manque de temps, et accessoirement d'appétit...
Si vous voulez aller jeter un oeil, sans perdre l'autre
http://www.scomas.com/
mer.
25
sept.
2013
Au cours des voyages, vous rencontrez des gens, parfois passionés de bouffe et de bonnes adresses, comme cette asiatique vivant à San Francisco rencontrée au Chili, qui nous avait envoyé un mail avec une liste longue comme le bras de restaurants et d'endroits à tester dans sa ville d'adoption. Du coup, on en a pioché un au hasard, et c'est sur Eiji que c'est tombé. Manger japonais ce soir, ça vous dit ?
De l'extérieur, le restaurant passe inaperçu. Un petit "joint" comme on dit. Une façade qui ne paye pas de mine, une porte, une salle de 20 couverts. On attend 20 minutes qu'une table se libère. C'est petit, pas d'esbrouffe, la déco est simple et ne cherche pas à en mettre plein la vue. Le tableau en haut du faux comptoir liste une série de plats ou d'autres choses, dont nous ne comprenons pas bien la signification. Ce sont en fait les quatres sakés disponibles. Du shoshu aussi? Non. Dommage. La carte est petite. Pas de tempuras. Ici, c'est sushi ou rien. Tant mieux et dommage en même temps. Tant mieux, car comme au Japon, le restaurant est spécialisé. Dommage, car de bons tempuras, ça se mange sans faim. C'est tellement léger. Oh non! Il n'y a rien avec du yuzu non plus. Et au bar, comment ça se passe? Il n'y a tout simplement pas de bar. Bon. La sauce soja est normale. La wasabi est industriel, mais bon.
Et alors, ça donne quoi dans l'assiette? Ca donne bien. Pas extraordinaire, mais bien. Les sushis à l'anguille d'eau douce ou salée sont fins. Les préparations simples, sans artifice. La soupe miso, trop souvent délaissée, est au dessus de ce que l'on trouve d'habitude chez votre japonais préféré. Le regret? Que les moshis à la framboise, ces petits desserts japonais tendres et fondants, ne soient plus disponibles. On avait tellement aimé à Tokyo.
Au total, ce sont 2 soupes miso, et 28 pièces de sushis que nous avons commandées:
- 6 Negi Toro (sushi thon tora et oignon vert)
- 12 California saumon
- 8 Rainbow (entourés de saumon, thon, crevettes et maquerau)
- 2 Nigiri thon
L'addition? 55 dollars, pourboire inclus. 20,5 euros par personne. Correct.
Eiji
317 Sanchez St, San Francisco
CA 94114, États-Unis
+1 415-558-8149
ven.
20
sept.
2013
Situé au coeur de San Francisco, dans le quartier de Tenderloin, Millennium est un restaurant végétalien dont la réputation aux Etats-Unis n'est plus à faire. Un décor de brasserie upscale, une carte qui donne envie, longue, variée, même si un certain nombre de termes nous échappent (ainsi qu'à notre amie américaine habituée du lieu), et alourdissent un peu la présentation. Le service est au poil, attentif, jeune, dynamique, souriant. Les portions sont suffisantes, et pleines de couleurs. Les légumes sont croquants, et chaque assiette est surprenante, et joue avec les matières et les cuissons. Niveau goût, c'est bon, mais cela ne nous a pas transcendé. La faute peut-être à notre conversations passionée, qui a sûrement égaré un peu notre esprit. Pas d'hésitations en tous cas à propos de la qualité des préparations, toutes d'un bon niveau, originales, justes.
L'avantage des plats végétaliens, avec ce niveau de préparation : la subtilité des saveurs, et les nuances douces propres aux légumes, sublimés ici par la technique et la créativité du chef. La question serait de savoir ce qu'il resterait si les assaisonements étaient retirés, car ceux-ci ont donné un vrai coup de fouet aux piques de notre fourchette.
Au fait, tous les vins sont "organic", dans la pure tradition californienne et vegan, où la qualité des produits que vous utilisez (pour manger, vous laver, vous maquiller) est capitale, et participe à une hygiène de vie quotidienne. Une tendance dont l'origine est la mal-bouffe, les fast-food, et leut impact sur la santé et le moral de chacun. Une tendance ultra-réactionnaire, dont le restaurant s'est fait une spécialité, même si parfois un peu extrème dans cet Etat, par les proportions qu'elle a prise. Mais on est à San Francisco, ville à l'origine de bien des mouvements culturels, et le lundi, la tendance est de ne pas manger de viande. Il faut dire que vu la manière dont la viande est produite aux Etats-Unis, à part quelques exceptions, on peut comprendre qu'on veuille s'en passer. Et c'est écologique, quand on sait que le bétail est responsable de 18% des gazs à effet de serre émis sur la planète. Etre végétalien, c'est aussi être écolo. Un sujet qui nous plait et nous interpelle, tant il appelle de questions, de challenges, de nuances, au carrefour de bien des enjeux, et de réalités.
Verdict : pour notre premier restaurant "vegan" (et non "veggie", végétarien), nous n'avions plus faim en sortant. Nous avons eu ce soir la preuve que l'on peut faire de la haute (et bonne) cuisine sans produits d'origine animale. Ce ne fut néanmoins pas l'extase. Oui, au même titre que la cuisine moléculaire, voilà une nouvelle expérience culiniare que nous recommandons aux prochains visiteurs de San Fran'
45 euros/personne, avec un apéritif et un verre de vin
Réservation recommandée
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Cadre: 14/20
Service: 16/20
Produits: 17/20
Menu: 15,5/20
Rapport qualité/prix: 16/20
Les détails qui font plaisir:
Le serveur qui apporte différents verres de vin pour vous faire goûter et choisir celui que vous préférez
Note globale: 15,7/20
L'adresse:
580 Geary St, San Francisco,
CA 94102
États-Unis
+1 415-345-3900
www.millenniumrestaurant.com
sam.
07
sept.
2013
Bob's Big Boy, c'est LE dinner où il faut aller à Los Angeles. Les dinners, d'ailleurs, ce sont les restaurants des années 50 et 60, où l'on allait manger à l'époque le nouveau plat à la mode, le hamburger. Vous vous souvenez de la série Happy Days? Vous y êtes... et Bob's Big Boy est le tout premier d'entre eux.
L'ambiance est là, les portions sont américaines, comme la salade d'accompagnement que l'on nous sert - qui pourrait presque être un plat chez nous - et, contrairement aux fast-food, les frites ne sont pas surgelées, et la viande non plus. C'est bon, c'est gras mais pas trop (cela pourrait largement être pire), le service est bon (pas besoin de demander pour que l'on vous resserve de l'eau, la serveuse s'en occupe avant que votre verre soit vide) et rapide, et le milshake banane frais et délicieux (un à partager à deux est suffisant, car au delà du verre que l'on vous sert, il en reste la même quantité dans le shaker qui a servi à le faire, posé à côté de vous)... et l'ambiance est donnée dans la parking, grâce au rassemblement de voitures de collection d'époque, comme tous les vendredis soirs... enjoy!
4211 W Riverside Dr
Burbank, CA 91505, United States
jeu.
31
mars
2011
A fabulous modern French diner at this 2 Michelin-starred restaurant, one of the most acclaimed spot on the NY food scene, in Tribeca. The all-white decor magnified what was served, perfectly rendering the colors and the subtleties of the 8-course experience prepared by Chef Paul Liebrandt
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Cadre : 15/20
Service : 15/20
Produits : 16/20
Menu : 17/20
Rapport qualité/prix : 15,5/20
Note globale: 15,7/20
Corton
239 W Broadway (between Walker and White St)
New York, NY 10013, USA
sam.
26
mars
2011
Another fine japanese dining in NY, at Omen
A classic japanese place, where the staff barely speaks english, and where everyone is kimono-dressed, in a intimate, calm, dark atmosphere
113 Thompson Street
New York, NY 10012, USA
+1 212-925-8923
mer.
23
mars
2011
Enjoying yuzu cocktail, sushis and japanese sweets in this trendy restaurant in Soho, located at the first floor of the builiding
Closed since 2012
170 Mercer Street
Manhattant, NY, USA
lun.
21
mars
2011
1221 Avenue of the Americas
New York, NY 10020, États-Unis
+1 212-575-5129
http://delfriscos.com/new-york